Salut Denis,
je sais que tu croyais pas au Paradis, mais je me dis que là où t’es, tu te démerderas sans doute pour trouver une connexion wifi ou un peu de 4G, et que tu arriveras à lire ce message.
J’espère en tout cas, parce que bordel, comme tous ceux qui t’aiment autour de toi, j’ai pas eu le temps de te dire au revoir.
Tu es mort brutalement, d’un arrêt cardio-respiratoire, ce lundi midi.