Ma dernière newsletter date d’il y a précisément 15 jours, j’ai annoncé que je t’enverrai un nouveau mail tous les 15 jours, nous y voici donc. Good job, Fab 🙌 ! (oui oui je m’auto-encourage, la vie est une chienne et elle m’a appris qu’on n’était jamais si bien servis que par soi-même)
Comment tu vas ? De mon côté, ça va plutôt très bien. J’ai depuis 3 semaines-1 mois des semaines extrêmement productives — et d’un autre côté, je peux prendre, comme cet après-midi, une demie-journée à ne rien foutre, et ça c’est agréable (c’est mon warning personnel : faire gaffe à ne pas replonger dans le boulot comme un dératé, j’y veille).
Merci à Petit Bateau pour son soutien. Je suis fier que cette marque me fasse confiance, d’autant plus pour parler de ces sujets si importants pour l’avenir de nos mômes. Si vous souhaitez en savoir plus, rendez-vous sur leur site internet petit-bateau.fr et cliquez sur Nos engagements !
Cette semaine, je reçois Samuel, plus connu sous le pseudo de Samuel et Gaspard sur Insta, et Cédric dont vous avez peut-être déjà entendu parler en tant que Papatriarcat. VOus les connaissez aussi peut-être parce qu’ils ont déjà eu leur épisode dédié dans Histoires de Darons précédemment.
Quand Petit Bateau est venu me demander si je connaissais des darons qui avaient à coeur de transmettre des valeurs écologiques à leurs enfants, j’ai de suite pensé à eux. On en avait d’ailleurs parlé spontanément dans leurs épisodes dédiés, et je les voyais très régulièrement dans leurs stories respectives se balader dans la nature avec leur progéniture.
Ils ont tous les deux une approche très complémentaire et différente de la sensibilisation de leurs enfants au rapport à la planète, et je crois que les deux correspondent parfaitement aux valeurs que Petit Bateau cherche à transmettre à ses clients, la rencontre était donc toute naturelle, je crois.
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Elle raconte cette histoire dingue presque 20 ans plus tard, comment elle s’est retrouvée un peu par hasard à faire le casting, plus par défi que par véritable goût artistique de la pop… et comment, petit à petit, elle s’est prise au jeu et est tombée dans le piège du « j’suis arrivée jusque-là, c’est pas pour me faire éliminer maintenant ! »
Elle explique aussi les coulisses de l’émission, le jour où elle a appris qu’elle était retenue, comment ils ont ensuité rusé pour se cacher des fans en attendant que le groupe soit révélé dans l’émission, l’enregistrement de cet album, l’immense tournée annoncée, et annulée brutalement quelques mois plus tard, faute de ventes… alors qu’au total, les Whatfor ont tout de même vendu plus d’1M de disques.
Elle raconte aussi l’après Whatfor, comment elle a vécu cette transition et le regard à la fois dur et tendre sur cette expérience qui aura changé à tout jamais son existence d’artiste. Merci à Erika pour sa transparence et son franc-parler !
Oh et j’y pense, mais à un moment elle mentionne « son mari » dans l’interview, et je n’ai pas eu la présence d’esprit de rappeler que le dit mari est connu, puisqu’Érika est mariée et a eu des enfants avec Raphaël Carlier, aussi connu sous le nom de Carlito, du duo McFly et Carlito. J’en profite pour faire un peu de cross promo entre mes podcasts, mais Carlito était venu il y a quelques années parler de paternité dans Histoires de Darons, je vous mets le lien dans les notes de l’épisode, vous avez l’habitude.
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Merci à Ekwateur, sponsor de cet épisode, de me permettre de financer mon activité, merci pour leur confiance et si vous souhaitez découvrir Ekwateur, rendez-vous sur ekwateur.com et vous pouvez utiliser le code promo FAB pour avoir 150kWH offerts, c’est-à-dire 1 an de machine à laver offert, rien que pour vous, mes chères auditrices et auditeurs.
Cette semaine, je reçois Julien Tchernia, Président et cofondateur d’Ekwateur, fournisseur d’énergie renouvelable qu’il a co-créé en 2015.
Il raconte son enfance, sa prépa maths, ses études d’ingénieur et comment son élan d’artiste a été étouffé par une lettre envoyée par son père.
Puis comment il est petit à petit passé de son métier d’ingé, qui ne le passionnait pas vraiment, à celui de business developer, où il a excellé. Tellement excellé qu’il a très très bien gagné sa vie, en mode golden boy qui roulait en Lamborghini à Milan – vous entendrez son histoire d’amour passionnel avec l’Italie.
Et puis un jour, la crise de sens : à quoi bon les euros qui coulent à flot si c’est pour n’avoir aucun impact sur le monde ? Lui vient l’idée de créer une boîte dans l’énergie renouvelable, une idée qui mettra une bonne dizaine d’années à voir le jour… jusqu’au moment où son associé et lui repartiront de zéro, pour monter leur boîte dans une chambre de bonne.
6 ans plus tard, Ekwateur a 300 000 compteurs en France, et va tenter d’entrer en Bourse. On discute aussi avec Julien de son rôle de père, qui lui tient vraiment à cœur, de la façon dont il gère son job de patron d’une boîte de 100 salariés avec sa vie de papa accompli.
Vous entendrez, cette interview est très riche et je remercie Julien pour la confiance et les anecdotes qu’il n’avait jamais raconté auparavant dans un micro !
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Ce texte est tiré de ma newsletter bi-hebdomadaire, envoyée un mardi sur deux à 11h — comme elle est importante, je la poste ici « pour archive ». Abonnez-vous.
Salut à toi, j’espère que tu vas bien. Vraiment.
De mon côté, il va être temps. J’ai 43 ans, bientôt 44 (le 2 novembre ué). Il va être temps d’assumer. De réveiller ce que Julia Cameron appelle dans son livre Libérer sa créativité mon « artiste fantôme ».
Yao nous raconte la naissance de ses deux fistons, et les difficultés qu’il a depuis quelques années à connecter avec son fils aîné, malgré toute sa bonne volonté.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que Yao essaie pourtant très fort : il a par exemple appris à nager, à faire du vélo pour pouvoir transmettre à ses deux enfants ce que son père n’a jamais pu lui apprendre.
Et pourtant, il tire aujourd’hui dans notre discussion un constat d’échec : ça a l’air d’être très compliqué pour lui de créer une relation avec son plus grand fils, alors que ça se passe à merveille avec son deuxième. C’est si compliqué à gérer pour lui émotionnellement qu’il en vient parfois à regretter d’avoir fait des enfants.
Merci à Yao pour sa transparence, cette discussion était particulièrement intense, j’espère qu’elle vous touchera autant qu’elle m’a touchée.
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Fab reçoit Aymeric Lompret, qui est humoriste et que vous pouvez entendre, faute de le voir dans les salles à cause de ce foutu Covid, sur France Inter toutes les semaines.
Ensemble, on discute de son enfance, comme d’hab, avec un petit twist, puisque j’ai connu Aymeric tout petit. On est tous les deux originaires de Neuville-en-Ferrain, petit village de 10.000 habitants dans le Nord, près de la frontière belge, et il s’avère que j’ai entraîné Aymeric au basket quand il débutait dans ce sport.
Il nous raconte aussi qu’il a arrêté ses études, et qu’il a dû se démerder sans l’aide de ses parents, à faire préparateur de commandes dans une boîte de vente par correspondance dans la banlieue de Lille, et comment cette expérience a aiguisé sa colère sociale.
Il explique aussi comment il a débuté sur scène, poussé par sa grande sœur, comment il s’est retrouvé chez On ne demande qu’à en rire, et la rencontre avec Pierre-Emmanuel Barré et Blanche Gardin, qui a été décisive dans le cheminement vers le ton qu’il porte aujourd’hui.
Merci à Aymeric, même si je l’ai cueilli au sortir d’une nuit blanche de fête avec ses potes.
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